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Affichage des articles du 2009

brâmer

La mémoire, à propulser, vers l’humain, le frisson , touch ! suspens du toucher les deux sens en contact, touch c’est autre chose, c’est l’expérience de l’autre dans ce non encore ligne de contact , feu dans la stratosfaire oui , ce texte je l’ai trouvé chez Doneda , l’écoute, du souffle de l’imperceptible que l’air conduit, un simple que , une relative sans suite comme le son que semble déchirer cette entente à atteindre le vide du mot, jolie expérience que ce vertige à peine ébauché, crissement à l’égal du blanc les mots accrochent le silence , la porte de l’inaudible, que c’est le rythme plus que le sens des mots , c’est ce serpent qui bouscule en douceur par en dessous l’imprévisible et la place qu’il laisse , au temps dans les interstices, les mots dans les sons les re-son et les non-sons , avant , après , au delà tout est dans ce murmure où des lignes de contact ces chantages de la vibration ces relations au son du passage de l’un à l’autre, massacre où les frétillements

Ver le voir

( après une lecture de John Berger , la forme d'une poche, fage) attentiste, il se promène et hume , lève le nez , sa démarche indique une danse que son esprit impulse en tangage , ou est ce le corps qui se soulève comme porté par des vagues , là de terre et d'air , une ligne souple trace la marche de lave quant obéissant au principe en fusion elle se frayait un passage au travers, coulant sur , réfractant le réel sous la chaleur , poussée , irréfrénable , c'est l'œil qui erre , libre on dirait bien mais finalement promène l'éclat à la rencontre , de , question , ce principe vaut il, y a t'il fusion entre cet incandescent et ce passage qui, forme , au contact cette ligne, mouvement en onde que l'air et la trace déchirent, voir , sans doute c'est ce que l'oeil cherche à faire , c'est pour cela sans doute qu'il erre et qu'il est à la recherche, en point de rupture, de la rencontre, il dévale la pente, se suspend aux brindilles soudain ce

Au pays du long nuage blanc

fini de lire le journal de Charles Juliet en Nouvelle Zélande, de Juliet je connaissais surtout les entretiens avec Bram van Velde, concentré de puriste attitude en Art, qui m'avait marqué et en même temps ennuyé car répétitif , la nouvelle Zélande, le pays où je voulais émigrer quand j'avais vingt ans et dont le rêve me poursuit, voyage jamais fait, un grand regret ; la rencontre improbable du poète de Lyon , qui se qualifie lui même de rigoriste et de ce pays dans l'océan , où la nature est ce qui conduit les hommes, le simple le pur mais comme évident, c'était ce que m'avaient laissé comme impression mes ami kiwis, cette rencontre au jour le jour m'intriguait , j 'ai fait le voyage. passionnant rétif d'abord, Juliet souligne l'importance de la vie intérieure, de la vérité comme nécessité, comme point de départ, d'ancrage ; des réflexions sur l'art et l'introspection pure doivent à la vision chinoise, à l'expérience intérieure

La cour

Bamako !à voir absolument ces quelques quatre vérités assenées à la logique occidentale, divertissante (!!!), divertissement genre star AC , la photo le ferait croire en guest star : l'Afrique , Aminata Traore, et le FMI , de quoi se tordre de rire effectivement... Bamako , un procès où les accusés sont les grandes instances internationales , le FMI, la banque mondiale....le procès se tient dans une concession , une sorte d'arrière cour, le procès se tient dans l'intimité sociale, l'afrique à domicile en minuscule et l'on voit les gens allez et venir, la vie quotidienne se refléte dans les visages, l'Afrique est au cœur des débats, comme une peau, le grand vécu sur les traits et les postures, les vies qu'une mince paroi ni un contrôle policier ne parviennent à dissimuler ni filtrer, le temps est le grand invité, la sagesse ancestrale et le chapelet de la vie, va et vient de l'être humain et présence immobile ne sont pas invités à la barre, mais elles s

coeur de gesta

affinités avec cette grande région , par exemple mon admiration la plus évidente va à Bernard Manciet , poète gascon d'Uzeste dans les landes, il me semble être le chaînon manquant entre la France occitane et la porte de l'Afrique ! On sent dans sa langue comme une chair de la terre et les fruits que sont les hommes, gros de toute l'histoire littéraire française et romane il accouche d'une modernité tournée vers le sud, ouverte et libre, sa voix noire de sang gascon se hérisse de ce vingtième siècle que la révolte noire a appellé JAZZ, Bernard Lubat le troublion le fait baigner dans cette eau de révolte réminiscente, elle s'accorde au vieil homme et ramène au rivage la douleur de l'engagement dans l'histoire, la modernité, la mort qui rode et le recul d'un enfant d'un pays rompu aux meurtres de l'histoire, éternelle résistance, l'homme de la culture a le corps dans le peuple et se souvient, sagesse incarnée dans le temps d'un sourire qu

le peintre

Le peintre sillonne le paysage, il aime à parcourir l’étendue, du regard, de son pas, il marche et l’œil divague comme un océan incertain, couleurs, matières en mouvement , informes car la marche immerge dans une sensation vaste, seule la perception qu’il en a le porte, le prolonge, Dans cette élongation de l’espace qu’est le pas, pensées et rêves envahissent le regard, Il ne s’est pas arrêté, il hume dans l’énergie du cheminement, la vitalité englobe tous les temps et l’effort physique prélude à la vision, il se sent vivre, plus tard il y repensera, à la manière des peintres chinois qui rentrés chez eux livrent le voyage à l’encre au papier. Là, il se rempli de l’odeur du monde, salue les fourmis, les coques et les cosses, les élucubration des branches d’eucalyptus au vent bleu, il s’amuse des glissades dans le graviers du chemin et repense aux lieux du monde qu’il a connu, lieux de glace, minéraux et ruisseaux, douceur et incandescence, qui l’habitent mieux que d’y être, la Tasmanie

irish heartbeat

from WCMU irish Xmas concert live ! www.wcmu.org You can check out our site. We stream all of our programs....and starting in January we will be one of a few stations (in the world)featuring a new radio series by "Dervish." You will be able to hear it on Sundays (via stream) at 2:00pm Eastern Standard time, which I think is 8:00pm your time Sunday night. The series is called "The Irish Heartbeat with Dervish." It's a 14 week series which starts December 28th....the first show is a Christmas show. Tell others about us!! www.wcmu.org viva EIRELAND clic clac (radio shows samples) extraordinaire l'ambiance et la créativité que cela permet ! et quelle joie de vivre !

Milou

et oui aussi improbable que cela paraisse j'ai été a lifelong fan of Emmylou Harris ! give it a listen! !

Mama Ambroisie

Mama Ambroisie jeanne Lee chante Ntozake Shange , ambrosia mama - natural affinities

Matana

Matana Roberts photos et musique extraite de http://www.myspace.com/matanaroberts reachin' high in the stuy ... © Matana Roberts

Anari

Anari photo et musique extrait de http://www.myspace.com/anarizebra je ne supporte plus la guimauve, le doux sussuré me fait crisser les dents, le texte tout mou et la peinture d'un pinceau avachi, il fut un temps ou les mots tiraillaient dans cet étrange déraillement qui fait dire que la vie avance et nous avec , même à se tromper , est-ce moi qui suis survolté par l'été ou nous dans notre Europe trop bien rangés, à l'abri dans un compartiment sans sourcil, crois t'on , des cyclones et de la tourbe , moi je veux que ça tangue et l'océan me fait envie, je suis curieux de tout mais ce satisfécit qui nous fait dire que tutti va bene et qu'il suffit de sortir la planche à voile et se laisser aller à la meringue , moi je veux du piment , et dès que je traverse je m'aperçois que le cri et le battement perce , le silence ? oui quand il bat à mes tempes et se fend d'une zèbrure qui dit le monde , fin de la complaisance , et tant de souffrance partout com

para la belleza

para la belleza photo femina y la violenta farra © Raul Barboza

femina y la violenta farra

femina y la violenta farra © photos extraites du site feminay la violenta farra @ http://www.myspace.com/feminaspace © femina y la violenta farra , mi eje © femina y la violenta farra , son ton ni son

liliana

igual a mi corazon © Liliana Herrero , igual a mi corazon

Yupanki

danza de la paloma enamorada Atahualpa Yupanqui , poète et musicien argentin : (préface à " airs indiens ") Il revendique et assume hautement le double héritage des aïeux qui lui "galopent dans le sang" . " Mes forces me viennent de loin dit ATAHUALPA YUPANQUI . De la la vie libre de la vie libre conseillée par mes ancètres basques, du silences de forêt et de pierre que mes ancêtres indiens mirent comme un dépot sacré dans cette étrange caisse de résonnance que m'a donné la nature en guise de corps et d'esprit … et je me suis trouvé face à un long chemin, attaché à une guitarre, me disant que c'était là une énorme responsabilité. Et dans les limites de ma capacité moins forte que ma conscience j'ai pesé chaque parole d'une chanson, chaque couleur d'u

Ol'Tom

jersey girl and old Tom oh life on the mississipi...mes souvenirs me rabrouent et remontent le fleuve vieil air nostalgique, ample robe en peau de liane tu n'en finis pas de me hanter, toi femme d'errance il s'échappe des planches comme un ol'tune, banjo ou flute percée, casserole endiablée, ton bateau s'arrête à mon port et je me souviens, nostalgie, je me laisse aller les pieds dans l'eau de vase , le regard s'effiloche au bayou, perdu dans la traine du ciel sans fin, je rêve et je me souviens, l'air vague, deux rire fusent comme un pétale camélia, femmes noires, orchidées en guoguette le fleuve en remord, retort, et voila old Tom qui débarque, sa bouteille de "southern confort" à la main, mais la voix porte toujours le sanglot ridé et la chanson m'e

marie jo thério

marie jo thério j'aurai voulu mettre "café Robinson" mais le morceau est trop long , donc en vla un autre … "j'voudrai être large comme le desert je voudrai couler comme une rivière" Marie Jo que tu es belle , tu es la beauté même toute en frisson ! si étrange et si proche comme une écharpe dont on s'enroule quand le vent ramène trop d'embrins sur mon rivage , ton murmure oiseau shine sur ma grève

hommage à Nina Louve

nina louve ruban voix d'or sur ris ban belle un grand merci à l'orpailleuse nina louve d'avoir orfèvré mes mots avec sa belle voix d'or , fierté ! http://aloredelam-poesie.blogspot.com/2007/03/ris-ban-bel... festival anti spleen FESTIVAL ANTI-SPLEEN chez louvainlaneuve Mais je ne m’étendrai pas au soleil, Tu souffles un air des marées et je me sens mouette Les graviers assèchent les rides de la chaleur J’ai simplement envie de faire le contraire Je te tire la langue quand tu me vois pas et je dodeline les rayures bigarrées de mon caleçon de bain, comme une autruche qui aurait fait couco
Mikel Laboa avé laksan Uzeste encore néanderthal ço qué cal dans le toupin grasal de Delteil l'accent revient en rive inaccesssible tous les s tous les k se roll n roll pas troll sans trouille , voila cessa ma rive en si en ut et vive ma patrie de lune qui rime à l'ail à l'oc ad hoc à écouter toi qui vibre de tous les a&nches de tous mes becs en clés je frappe je tape j'enclume à bout de rire en vague lyre http://www.uzeste.org/a/index.php/Improvista/HomePage?PHP... mikel laboa

Antonio Placer

Antonio Placer Antonio Placer, poète et musicien galicien il chante « la boulange de l’âme » communier en annarchiste avec le public (« je suis un annartiste » dit il en hommage à Anna). Un homme artiste, pour qui dire et chanter est l’aliment de la vie. © Antonio Placer, esa mujer sabe a verso