Mais je ne m’étendrai pas au soleil
Tu souffles un air des marées et je me sens
mouette
Les graviers assèchent les rides de la chaleur
L’arbre
me fait une ombre
douce
toute en jaune au bord des verts
carmines ombrées
Le soleil
par endroit tente bien des percées
Souffle gris
bleuté
sur les rougeurs avides
les barrières d’air menacent
fleurs d’acacia
araucariâtre
épices en pulpe
A rive de goyave
la terre rouge
s’effrite
Une eau vaste
comme un pigment mouillé
laurier vanille
à l'air la douce marinade
en jus de lime
saoule
poudrée de cannelle
massale
Peau m’aimante
golden beach
je m’ensable
Vert sur l’or
et terraille
En duo d’aise
à grandes brassées
le sol craque
Tu souffles un air des marées et je me sens
mouette
Les graviers assèchent les rides de la chaleur
L’arbre
me fait une ombre
douce
toute en jaune au bord des verts
carmines ombrées
Le soleil
par endroit tente bien des percées
Souffle gris
bleuté
sur les rougeurs avides
les barrières d’air menacent
fleurs d’acacia
araucariâtre
épices en pulpe
A rive de goyave
la terre rouge
s’effrite
Une eau vaste
comme un pigment mouillé
laurier vanille
à l'air la douce marinade
en jus de lime
saoule
poudrée de cannelle
massale
Peau m’aimante
golden beach
je m’ensable
Vert sur l’or
et terraille
En duo d’aise
à grandes brassées
le sol craque
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