et toujours encore mon amour du Cap Vert , filles de la beauté océan , Afrique dans la douceur mélancolique de la tristesse torride, oh
ma joie africaine !
Regasu
Mórna k-um konxé
Inda mininu na regasu
Na óra di dispidida um kré també
Uvi-b oh morna !
Bo seiva,
Invadi-m nha korasom sem limit
Ai si um pudéss,
Bibé um káliss d'bo meludia !
Bo feitiss ta infeitisa-m
Bo prága t'amaldisua-m
Bo séka ta seka-m nha peit
Más mésmu asim ja-m kre-b oh mórna !
Sein maternel
Morne , toi que j’ai connue
Alors que je n’étais qu’un enfant blotti contre le sein maternel
Lorsque je m’en irai,
C’est toi, ô morne, que je voudrais encore écouter !
Ta sève
Subjugue mon cœur,
Ah si seulement je pouvais
Étancher ma soif à la coupe de ta mélodie !
Je suis prisonnier de tes sortilèges,
Damné par tes malédictions,
Et ma poitrine est oppressée par ton obsédante présence :
Mais cela ne m’empêche pas de t’aimer, ô morne !
ma joie africaine !
Regasu
Mórna k-um konxé
Inda mininu na regasu
Na óra di dispidida um kré també
Uvi-b oh morna !
Bo seiva,
Invadi-m nha korasom sem limit
Ai si um pudéss,
Bibé um káliss d'bo meludia !
Bo feitiss ta infeitisa-m
Bo prága t'amaldisua-m
Bo séka ta seka-m nha peit
Más mésmu asim ja-m kre-b oh mórna !
Sein maternel
Morne , toi que j’ai connue
Alors que je n’étais qu’un enfant blotti contre le sein maternel
Lorsque je m’en irai,
C’est toi, ô morne, que je voudrais encore écouter !
Ta sève
Subjugue mon cœur,
Ah si seulement je pouvais
Étancher ma soif à la coupe de ta mélodie !
Je suis prisonnier de tes sortilèges,
Damné par tes malédictions,
Et ma poitrine est oppressée par ton obsédante présence :
Mais cela ne m’empêche pas de t’aimer, ô morne !
Commentaires
et puis j'aime l'insularité !