(note en construction)
la pensée d'Edouard Glissant ( "traité du tout-monde ), le festival d'Itxassou au pays Basque du grand Benat Achiary qui accueillait justement le grand Martiniquais ,
je martèle : oui la pensée du tout-monde est une douceur dans nos cœurs et nos vies , un signe fort d'un avenir possible, le monde ancien s'est délité et l'Europe aussi , le résultat pour les peuple du monde est qu'ils peuvent à présent se comprendre autrement , en rhizome et nous plus en racine unique, comme le montre la langue créole et chez vous l'excellent Gaston Miron , mon grand frère, Gaston mi campêcho, et toi Atahualpa ...
soulignons cette magnifique aventure initiée par Edouard Glissant où un voilier c'est envoilé avec à son bord des écrivains pour rendre compte des peuples des îles qu'ils allaient visiter, en ami et porteur de parole que sont les écrivains, avant tout ( cf. Raga de le Clézio sur les peuples du pacifique)
mais ceci est une autre histoire je reprends et cite :" ...c'est ma langue que je ne sais plus reconnaitre des marécages de mon esprit brumeux à ceux des signes aliénés de ma réalité" G M;
oui la langue, en linguiste , c'est aussi l'endroit où tout se joue, c'est le laboratoire d'une transformation intérieure et d'une mise à jour des couches de l'être en chemin de recyclage en strates de notre identité, de notre être au monde , G M souffrait en euphorie de cette langue à reconquérir, comme nos antillais, et si comme je le cite ailleurs il suffit de bondir (wole Soyinka), la poésie est ce lieu là ( cf. ma note en hommage à Césaire) qui réinvente le langage pour porter sa vie et fracturé l'espace de l'aliénation, être ... autrement ;
c'est le grand espoir ;
et je regarde ... par là !
et même si on nous temps l'autre miroir, en creux qui nous enjoint de se conformer, à la langue , à l'ordre conformiste de la violence à l'être , hors de raison, de l'humain en paix,
oh ma chair du monde oh l'air qui m'habille oh le ciel que j'œil !...
la pensée d'Edouard Glissant ( "traité du tout-monde ), le festival d'Itxassou au pays Basque du grand Benat Achiary qui accueillait justement le grand Martiniquais ,
je martèle : oui la pensée du tout-monde est une douceur dans nos cœurs et nos vies , un signe fort d'un avenir possible, le monde ancien s'est délité et l'Europe aussi , le résultat pour les peuple du monde est qu'ils peuvent à présent se comprendre autrement , en rhizome et nous plus en racine unique, comme le montre la langue créole et chez vous l'excellent Gaston Miron , mon grand frère, Gaston mi campêcho, et toi Atahualpa ...
soulignons cette magnifique aventure initiée par Edouard Glissant où un voilier c'est envoilé avec à son bord des écrivains pour rendre compte des peuples des îles qu'ils allaient visiter, en ami et porteur de parole que sont les écrivains, avant tout ( cf. Raga de le Clézio sur les peuples du pacifique)
mais ceci est une autre histoire je reprends et cite :" ...c'est ma langue que je ne sais plus reconnaitre des marécages de mon esprit brumeux à ceux des signes aliénés de ma réalité" G M;
oui la langue, en linguiste , c'est aussi l'endroit où tout se joue, c'est le laboratoire d'une transformation intérieure et d'une mise à jour des couches de l'être en chemin de recyclage en strates de notre identité, de notre être au monde , G M souffrait en euphorie de cette langue à reconquérir, comme nos antillais, et si comme je le cite ailleurs il suffit de bondir (wole Soyinka), la poésie est ce lieu là ( cf. ma note en hommage à Césaire) qui réinvente le langage pour porter sa vie et fracturé l'espace de l'aliénation, être ... autrement ;
c'est le grand espoir ;
et je regarde ... par là !
et même si on nous temps l'autre miroir, en creux qui nous enjoint de se conformer, à la langue , à l'ordre conformiste de la violence à l'être , hors de raison, de l'humain en paix,
oh ma chair du monde oh l'air qui m'habille oh le ciel que j'œil !...
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