nostalgie
linceuil du bonheur
accrochée à mes gestes
ta beauté
que tu portes dans tes yeux
que tu déambules dans ton corps
que tu tais dans le silence
me sauve de la perte de vue
m'ancre dans le vivre
comme une source
l' attachement
mon corps comprend à vivre
de mon idéal qui me trompe
de mon désir qui est espoir
de mon frisson qui est mon désir
que mon esprit ne comprend pas
qui reste à la surface
je transporte avec moi cette interrogation
le silence s'est refermé et n'offrira jamais de réponse
tenace dans les recoins de la mémoire ,
météorite désintégrée au contact de mon désir
me laissant dans la question
la trace phosphorescente de cette filante
a troué mon présent
éludé la question-caverne
et luit à perte de vue
à ce qui ne se pose pas en question
tu chéris l'écho-question
comme un reflet
comme une ombre portée
en retours
tu portes haut la question
dans le vertige en corps de la non-réponse
peut être
tu me laisses
mélancolie
enferrée
comme une mémoire
vaine et dormante
tu ne subsistes que comme poussière
déposée par la vitesse de ta vie
comme un pollen
irritant et nourricier
linceuil du bonheur
accrochée à mes gestes
ta beauté
que tu portes dans tes yeux
que tu déambules dans ton corps
que tu tais dans le silence
me sauve de la perte de vue
m'ancre dans le vivre
comme une source
l' attachement
mon corps comprend à vivre
de mon idéal qui me trompe
de mon désir qui est espoir
de mon frisson qui est mon désir
que mon esprit ne comprend pas
qui reste à la surface
je transporte avec moi cette interrogation
le silence s'est refermé et n'offrira jamais de réponse
tenace dans les recoins de la mémoire ,
météorite désintégrée au contact de mon désir
me laissant dans la question
la trace phosphorescente de cette filante
a troué mon présent
éludé la question-caverne
et luit à perte de vue
à ce qui ne se pose pas en question
tu chéris l'écho-question
comme un reflet
comme une ombre portée
en retours
tu portes haut la question
dans le vertige en corps de la non-réponse
peut être
tu me laisses
mélancolie
enferrée
comme une mémoire
vaine et dormante
tu ne subsistes que comme poussière
déposée par la vitesse de ta vie
comme un pollen
irritant et nourricier
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