( après une lecture de John Berger , la forme d'une poche, fage) attentiste, il se promène et hume , lève le nez , sa démarche indique une danse que son esprit impulse en tangage , ou est ce le corps qui se soulève comme porté par des vagues , là de terre et d'air , une ligne souple trace la marche de lave quant obéissant au principe en fusion elle se frayait un passage au travers, coulant sur , réfractant le réel sous la chaleur , poussée , irréfrénable , c'est l'œil qui erre , libre on dirait bien mais finalement promène l'éclat à la rencontre , de , question , ce principe vaut il, y a t'il fusion entre cet incandescent et ce passage qui, forme , au contact cette ligne, mouvement en onde que l'air et la trace déchirent, voir , sans doute c'est ce que l'oeil cherche à faire , c'est pour cela sans doute qu'il erre et qu'il est à la recherche, en point de rupture, de la rencontre, il dévale la pente, se suspend aux brindilles soudain ce
Commentaires
qu'alors je souhaite la prendre en moi
puis douce, ouverte, attentive,
me faire taire
me faire plaire
Sachez Aloredelam, qu'ici, par votre fougue, c'est la paix, le désir, les sourires qui s'installent quand je viens lire votre poésie.
Pardonnez que je ne signe pas chaque passage ?
moi aussi je ne signe pas tous mes passages chez vous mais je me régale quand même !
amitiés !
tombé par hasard sur ton site, ma curiosité se délecte de ton style libéré et de la puissance de ta sensibilité.
Juste pour ce poeme, p-e qu'il serait intéressant de remplacer "enocéannée" par "Calypso"...Je me permets cette remarque, mais je respecte ton oeuvre crois-moi. Simplement des échanges peuvent parfois ouvrir de nouveaux horizons.
Pour ma part, tu trouveras mes textes par ici: http://www.mespoemes.net/zaho
Ciao